Fauchage du Chemin d'Ilhurté et de Bésur n°22

Cartographie n°22

Dès le premier jalon de signalétique fauchage soigné qui incite le randonneur à quitter la piste de Chimits pour le sentier ancien (visite du 30 juillet 2011).

Dans le premier lacet, confirmation de la qualité du fauchage : large et traz.

Fauchage soigné malgré la difficulté : beaucoup de pierres jonchent le creux du chemin, rendant le fauchage difficile (beaucoup de fil consommé). Ces pierres s'y sont arrêtées, éboulées lors de l'ouverture de la piste qui passe au-dessus.

Fauchage raz et large à travers pente.

 

Dans le fond à gauche un morceau du village d'Aydius, en face le Quartier des Ichantes et le Soum de Bergout, au loin à droite sous la brume le massif du Plat à barbe et par temps clair le Pic d'Anie.

Fauchage soigné à l'approche d'un bosquet intermédiaire

A la sortie du bosquet intermédiaire, le sentier prend pied sur une piste pare-feu secondaire : fauchage large et raz laissant apparaître les cairns bien utiles marquant l'itinéraire.

 

A contrario du sentier, la piste pare-feu n'est pas entretenue au-delà.

Le jalon nettoyé autour, juste après le raccordement avec la piste principale de la Forêt de Chimits.

 

L'artéfact gris à gauche du jalon est une mouche qui volait autour de l'objectif de l'appareil photo : beaucoup de pluie puis un peu de chaleur, rien de tel pour réveiller ces insectes !

Le départ du sentier supérieur d'Ilhurté : fauchage et élagage dans les buis forme d'année en année un tunnel de verdure bien agréable.

 

Le mât de signalétique est désepéremment vide de plaquette qui disparait régulièrement après être revissée. A croire que les vandales démonteurs en font collection ! Mais que fait la police ?

Fauchage soigné.

 

Le buis a pris mal, les pins aussi, après un écobuage incontrôlé qui a tout fait griller il y a quelques années, d'Aydius aux crêtes d'Ilhurté, pâturages et forêt comprise...

 

Une abondante végétation pousse entre les fûts calcinés des pins plantés il y a un siècle pour protéger Aydius des avalanches.

Fauchage soigné, malgré l'épaisseur de la végétation.

Fauchage soigné d'un enchaînement interminable de lacets.

Fauchage soigné

 

La forêt fantôme a résisté ça et là où quelques pins témoins encore verts subsistent miraculeusement après l'incendie.

Fauchage soigné, malgré le "paillat" d'herbe dures.

 

Plus haut dans la forêt, le hêtre a également souffert de l'incendie. Les écorces ont été craquelées, maintenant les arbres meurent à petit feu.

Fauchage soigné.

 

Au fond les crêtes de Pétraube avec tout à gauche une curieuse chandelle de pierre.

Fauchage difficile mais rasé autant que possible, malgré les condition du fauchage dans l'humidité et surtout compliqué par la couche de paillat non fauchée l'an dernier par une autre entreprise qui avait survolé l'herbe sans la faucher correctement voir fauchage ilhurté n°22 en 2010.

Fauchage soigné jusqu'en haut en lisière supérieure du bois à travers les framboisiers.

A l'écart du chemin, quatre murs de pierres écroulées au milieu des orties figent dans le temps la Cabane d'Ilhurté.