Fauchage du Chemin des Jaupins n°20

Cartographie n°20

Après la Roche qui Pleure, l'itinéraire des Jaupins de Bedous à Aydius se poursuit par le Chemin de l'Ardoisière en s'enfonçant dans les buis (visite du 18 juillet 2011).

Mi-bois, mi-buis, le chemin traverse de fortes pentes dominant le Gabarret, le ruisseau impétueux d'Aydius.

 

Un fauchage soigné.

Quelques arbres pendent encore dangereusement au-dessus des têtes, vestiges de la Tempête Xynthia, avec un bucheronnage expédié à la va-vite cette année 2010 pour réouvrir ce chemin.

 

Un problème de sécurité à règler vis-à-vis des randonneurs et un problème de principe sur des travaux soient-disant réceptionnés, payés l'an dernier par la collectivité, mais visiblement pas achevés.

Le Chemin se faufile au milieu d'aiguilles calcaires de ce versant abrupt : une prouesse technique pour les mineurs de l'Ardoisière qui ont bâti ce cheminement large et de pente régulière à travers un dédale de blocs et de chênes enracinés dans le dur.

 

Un fauchage soigné.

Un Chêne restant de la Tempête de 2010 obstrue encore le chemin. Quelque temps après le bucheronnage de deux branches maîtresses, la souche s'est arrachée en roulant de côté depuis la pente dominant le chemin, emportant au passage des blocs de rocher.

 

Se méfier par temps humide de ne pas glisser sur le tronc pour passer de l'autre côté.

Le Chemin de l'Ardoisière recoupe un ruisseau connu dans le fond pour alimenter la "Cascade d'Aydius" se jetant dans la Gorge du Gabarret au bord de la Route de Bedous à Aydius.

Après le ruisseau prendre la suite du Chemin de l'Ardoisière au panneau à droite. Ce chemin a été réouvert l'an dernier par votre serviteur, pour atténuer la pente qui permet de rejoindre la Fontaine d'Orbe et offrir au loin une vue sur l'ancienne Ardoisière d'Aydius.

 

Fauchage soigné

Le Chemin de l'Ardoisière se déroule mi-ombre, mi-lumière, dans la chênaie claire (le Cassiau en béarnais).

 

Fauchage soigné.

Le Chemin de l'Ardoisière débouche dans une épaisse fougeraie.

 

Vue la date tardive du lancement des travaux de fauchage et l'ouverture de ce passage seulement l'an dernier, c'est une véritable tranchée végétale que l'équipe technique a dû pratiquer au milieu de fougères de 2m et de broussailles envahissantes.

Le parcours quitte le Chemin de l'Ardoisière qui se perd à droite dans les fourrés. Commence une série de lacets piochés l'an dernier avec opiniatreté par votre serviteur.

 

Fauchage soigné dans des conditions de broussailles d'une épaisseur impressionante. Un rude travail.

Une vue sur le Vallon au travers des Gorges du Gabarret. La végétation environnante avait été écobuée "incendiée" l'an dernier par des amateurs de sangliers, résultat, la broussaille a bénéficié de la lumière gagnée sur tous les petits chênes dont la cime a grillé. Certains heureusement rejettent de souche. Si les pratiques incendiaires sont banies, les chênes pouront recoloniser ce milieu (et procurer des glands aux sangliers).

 

Travail de fauchage exceptionnel, malgré la végétation.

Dans les lacets du Sarrot Carboué, une vue sur l'Ardoisière.

 

Fauchage rude et soigné sur toute la largeur du sentier.

Après les lacets du Sarrot Carboué (la Crête des Charbonniers), le sentier gagne la chênaie.

 

Fauchage régulier et de qualité, dans une végétation dense.

Le sentier traverse une clairière résultant d'un enchevètrement de troncs et de souches consécutif à la Tempête de 2010.

 

Fauchage soigné et régulier.

Le Cassiau reprend ses droits, le hêtre apparait, la lumière est plus tamisée et la flore du sous-bois est moins dense.

 

Fauchage soigné et raz.

Raccordement avec l'ancien chemin au lieu-dit "Coigt de la Mina". Nous ne sommes plus loin de la Fontaine d'Orbe.

Nettoyage des abords de la Fontaine d'Orbe.

 

Une eau toujours abondante et fraîche.

Fauchage soigné du raccordement avec la Piste des Bordes de Nouqueret.

Au-dessus de la Piste de Nouqueret, l'itinéraire des Jaupins se poursuit par un sentier le long d'une arête dans la chênaie.

 

Il débouche sur un promontoire dans d'anciennes prairies : fauchage soigné.

Fauchage supplémentaire entre jalon et promontoire : du travail soigné.

 

Des prairies à l'abandon de la zone intermédiaire entre fond de vallée et estives, faute de bétail suffisant et de nettoyage du parcellaire.

Le jalon du haut près de la Fontaine de Nouqueret : un passage fauché avec soin dans un ancienne fougeraie gagnée par la ronce.

La Fontaine de Nouqueret dégagée avec soin. Un mince filet d'eau l'alimente.

La suite du Fauchage, réalisé avec soin, respecte l'assiette du chemin, pas le tronçonnage effectué l'an dernier, avec le pied des billes débordant sur le chemin.

Fauchage de qualité rasant bien l'assiette du chemin et sa partie amont

Passée l'arête du Mail Paloumé faisant limite entre Bedous et Aydius, le sol est plus sec et la végétation moins dense, avec un fauchage toujours soigné.

Fauchage soigné vers l'amont dans une partie du chemin dominant des pentes abruptes.

Fauchage soigné au pied d'une ancienne fougeraie au-dessus de la Borde de Lartigue (ruine cachée sous la végétation en contre-bas).

Fauchage soigné à la jonction du chemin montant vers le Col de Piau (non entretenu).

Fauchage soigné sous la Borde Lartigue, le long d'une pente abrupte en contre-bas.

Faugage soigné visualisant l'ancienne murette dans une combe avant la Borde Mirande.

Le sentier a été élargi à la minipelle pour réparer le trou provoqué par l'arrachement d'une souche visible en contre-bas.

Le passage élargi à la minipelle.

La dernière barrière avant la jonction de la Piste des Jaupins à un petit col et le fauchage de l'amont toujours aussi soigné.